Non sans condamner la réaction du gouvernement lors du dernier sit-in des retraités. « Privilégiant, comme d’habitude, la violence au dialogue social, le gouvernement a dépêché les forces de police sur la place afin de disperser les citoyens manifestant pacifiquement », fustige-t-il.
Ce dernier clame que « la faillite est aux portes des trois caisses ». Avant d’ajouter : « il est évident que l’entière responsabilité politique de la faillite ou la cessation de paiements actuelle de la CNSS repose sur le gouvernement ». « () Une restructuration de la CNSS ne sera durable que si le gouvernement honore ses engagement, revoit le Code du travail et relance véritablement l’économie, au-delà de simples slogans démagogiques », pense-t-il.